Un 1er Mai de lutte et d’espoir

Le 1er Mai 2020 restera dans les annales.

En raison du confinement imposé par la pandémie du coronavirus, nous ne pouvons pas manifester comme d’habitude.

Nous sommes confinés certes, mais pas muselés! Nous crierons nos revendications depuis nos balcons, nos fenêtres, avec des banderoles et des pancartes. Ou encore sur les réseaux sociaux.

Ce 1er Mai est particulièrement axé sur la solidarité avec les personnels soignants qui, souvent sans même le matériel de protection nécessaire, se battent pour sauver des vies.

Solidarité également avec les «gens qui ne sont rien», méprisés par Macron, mais qui sont les acteurs indispensables au quotidien des Français.e.s pendant cette crise sanitaire. Ceux qui, partout, assurent les services de première nécessité, ceux qui nous fournissent de l’énergie, traitent nos déchets, produisent les biens essentiels pour que la vie continue.

Solidarité, enfin, avec les précaires dont la situation s’est dramatiquement aggravée pendant la crise.

La France d’après ne peut pas se solder par de nouvelles régressions de droits sociaux et démocratiques. Il faut un changement de cap pour un meilleur futur social et écologique.

Il faut sortir du capitalisme productiviste et financier dont la pandémie actuelle révèle le caractère destructeur!